Requiem pour l'Humanité

Citation :

Mario sortit son pistolet,

J'ai beau eu relire ce chapitre, je vois pas ce passage. Tu es sûr de toi? (EDIT : vu et corrigé)
Bon pour la bouse j'ai corrigé. Désolé de ces fautes d'innatentions, d'étourderies...

C'est pas grave en tout cas ta fic est géniale et très original vu quelle rassemble les héros des 2 mario et luigi.Voila ba sinon j'attends la suite avec impatience.

Citation :

les héros des 2 mario et luigi

Disons plutôt "les héros du premier et les méchants du second (avec une guest du premier)", Bébé Mario et Bébé Luigi étant absents.

Il y avait du blizzard aujourd'hui sur la Montagne Glagla. Douce agonie de la nature, un nouveau règne commençait, celui du Roi Bowser, enfin celui des Xhampis, qui avaient comme intermédiaire entre eux et les habitants du Mushroom Kingdom le Koopa géant. Pourquoi je parle de la Montagne Glagla? Hé bien c'était là que se trouvait Mario et Luigi, ils marchaient, ils avaient mal, ils cherchaient un abri pour attendre l'acalmie, mais on y voyait pas à un mètre.

« Mario, j'ai mal... »
« Moi aussi, Luigi... pourtant si on s'arrête, c'est la fin pour nous... »
« J'espère que la princesse va bien... »

Ils avaient honte d'eux, honte d'avoir abandonné le château à l'ennemi, d'avoir laissé le Mushroom Kingdom à la dictature de Bowser, honte d'avoir laissé la princesse. Mais bon, avaient-ils le choix? C'est la nature même de l'être humain : devant une situation impossible, ils fuient. C'était lâche certes, mais oser affronter l'armée entière de Bowser et les Xhampis, c'était de la folie pure. La solution idéale pour le moment était de trouver Tastroff, de trouver un abri, de se soigner.

Mais c'était inutile. Les éléments étaient déchaînés, Mario et Luigi étaient au bord de la mort. Ils n'avaient plus aucun espoir de survivre. Ils s'évanouirent...

...ils se réveillèrent dans une chambre blanche, dans des lits, la salle était chauffé. On entendait le blizzard au dehors. Ils se sentaient bien, leurs blessures étaient cicatrisés. Ils ne savaient pas combien de temps ils avaient dormis : deux jours, trois? Ils se regardèrent l'un et l'autre, et se levèrent. Ils sortirent de la pièce, elle donnait sur un long couloir d'un blanc immaculé. Soudain, un rire éclata au bout de ce couloir, un rire familier.

« Je suis content de vous voir réveillé! »

Karl Tastroff. Il était dans sa tenue habituelle, plus joyeux que jamais, ses lunettes étaient en forme de spirale, il était petit. Son regard était pétillant de bonheur. Il s'approcha des deux frères plombiers.

« Je commençais à m'inquiéter... vous avez dormi deux jours entiers, vos blessures étaient très importantes et j'ai eu du mal à vous guérir... mais quel bon vent vous amène? »
« Oh, bon vent... mauvais vent plutôt! Nous avons besoin de votre aide. » répondit Mario, la mine sombre.
« Ha? Expliquez-moi. »

Alors ils s'expliquèrent.
Ils racontèrent chaque détail, ils racontèrent la déclaration de guerre de Bowser, son attaque, les gens qui devenaient des sortes de zombies, les flaques violettes, les Xhampis, le Void Blaster, la conquête du Mushroom Kingdom par Bowser, la fuite de Mario et Luigi. Quand tout ce récit fut terminé, le sourire de Tastroff disparut lentement.

« Mais c'est horrible! Abominable! »
« D'ailleurs, j'ai un détail à vous faire remarquer. Les flaques violettes étaient à l'origine de ces Xhampis... d'ailleurs l'apparition de ces flaques coïncident avec la transformation des Toad en zombies. Je pense qu'il y a un lien entre les deux. Les Xhampis se servent de ce liquide comme arme. » poursuivit Mario.
« Hypoyhèse intéréssante. Mais... comment? »
« Comment? »
« Avez-vous rencontrer ne serait-ce qu'une fois de tels Xhampis lors de votre quête dans le passé? »
« Non... »
« Etonnant. Impossible même. Je veux bien croire qu'il y eut des survivants, mais se muter en de pareils horreurs... »
« Vous oubliez que ce sont des extraterrestres! Leur constitution est différente de la nôtre! » riposta Luigi.
« Peut-être. Mais je doute. »

Il fit les cent pas. Il réfléchissait. En effet, comment les Xhampis pouvaient évoluer tout seuls? D'autant plus qu'ils devaient avoir été touchés par les larmes de bébés, donc comment se régénerer tout seul? Certes, on parlait de Xhampis mais ils ne fallaient pas éxagérer...

« Non, c'est impossible. Quand j'ai étudié le Bébé Xhampi, son organisme fonctionnait comme le notre. » conclut-il.
« Peut-être une réaction d'urgence... » pensa Luigi...
« ...il y a quelque chose d'ailleurs qui me fait peur. Si les Xhampis ont un nouveau corps, peut-être sont-ils maintenant immunisés aux larmes de bébé... »
« Vous croyez? Mais alors comment faire? » demanda Mario.
« Hum... je propose d'attendre une accalmie, après vous partirez me chercher un échantillon de cette flaque, ou un sujet contaminé. Je pourrais trouver un antidote. »
« Je suis d'accord. » approuva Mario.

Luigi hocha la tête. Alors Karl partit sur un autre sujet, il parlait de l'étude des organismes cryogénisés, de la cryogénisation en elle-même, la raison pour laquelle il était à la Montagne Glagla. Mais ils n'avaient pas le coeur à discuter. Alors l'ordinateur du scientifique fit un horrible bluit. Immédiatement, Tastroff se rua dessus, pianota sur son clavier.

« Mais... c'est pas vrai! »
« Que se passe-t-il, professeur? » demanda Luigi.
« Ma carte de l'endroit réagit! Les Warp Zone disparaissent! »
« QUOI?!! »

Et en effet c'était vrai
Sur l'écran, les Warp Zone (indiqués par des spirales) disparaissaient les unes et après les autres. On passa de trois Warp à aucun. Tastroff, Mario et Luigi étaient tous surpris.

« Mais que se passe-t-il? Pourquoi elles dis... »
« Bowser semble avoir bloqué les Warp Zone, on ne peut plus les utiliser. Vu qu'il est le nouveau maître du Royaume, ça doit être possible. Mais il n'est pas assez intelligent pour ça. Les Xhampis peut-être? Non ils ne connaissent même pas leurs existences... mais alors QUI? »

A ce moment, la terre trembla, une partie du toit s'écroula. Tastroff poussa un cri de surprise, Luigi hurla. Mario se ressaissit et parla à Karl.

« Où sont nos marteaux?! »
« Dans votre chambre, pourquoi? »

Le plombier rouge prit son frère par le bras et l'emmena dans la chambre. Tout deux prirent leurs marteaux. Luigi tremblait. Alors ils revinrent dans le hall, Mario dit à Tastroff de se cacher. Un autre tremblement fit chavirer toute la maison. Mario ouvrit la porte.

Des Xhampis, des tas de Xhampis, des dizaines de Xhampis, des centaines mêmes. Des Xhampis basiques, des méduses, des Xhampis volants. Une véritable armée.

« Haaaaa... Mon Dieu... nous sommes perdus! » cria K. Tastroff.

Et là, les deux frères comprirent qu'il avait raison.

Etant donné que tu haït Nintendo, je parie que tu fait cette fic pour faire crever Mario et Luigi à la fin ? Hein ?

Homario-> http://gamerama.fr/topic.php?sujet=808 ; )




Il y a qu'une chose que je pourrais reprocher, c'est le manque de distinctions entre les actions et autre. Je te conseille d'utiliser les caractères italiques et gras pour mettre en valeur un type de phrase bien spécifique.

Squadalol a écrit:

Homario-> http://gamerama.fr/topic.php?sujet=808 ; )




Il y a qu'une chose que je pourrais reprocher, c'est le manque de distinctions entre les actions et autre. Je te conseille d'utiliser les caractères italiques et gras pour mettre en valeur un type de phrase bien spécifique.

Dégages. ; )

Quand à monb avis sur ce chap', j' aime bien. Warp Zone ? Tu veut pas plutôt dire: Tuyau ?

Homario a écrit:

Etant donné que tu haït Nintendo, je parie que tu fait cette fic pour faire crever Mario et Luigi à la fin ? Hein ?

Why not ?

Ah !
J'adore cette fic ! Pour une fois que ça change !
Les méchants gagnent !!!

Le sort de Mario et Luigi ne sera pas la mort, loin de là. Mais les méchants sont en effet en très bonne posture pour gagner. Enfin bon, Je vais pas vous spoiler le scénar non plus.

Homario > Non non, Warp Zone. J'aime bien ce terme. J'utilise tuyau pour ceux à courte distance. Les Warp Zones sont à longue distances.

Luigi tremblait. Mario aussi. Tastroff de même. Ils étaient face à la mort, une armée de ces monstres sans coeur et sans âme. La situation était désespérée, le combat était inutile, jamais les deux frères ne pourraient survivre face à eux, la fuite était impropable, les chemins étaient bloqués par les extraterrestres. Alors que faire? Il n'y avait rien à faire. A part attendre, et espérer.

Pourtant Mario ne voulut pas perdre espoir. Il savait qu'un jour le bien triompherait, il savait qu'il s'en sortirait, que la princesse serait sauvée, que les Xhampis seraient tous anihilés. Ha, douce utopie qui ne se réaliserait propablement jamais...

Le blizzard redoubla d'intensité, on ne voyait presque plus les Xhampis, pourtant le trio savait qu'il était là, qu'il allait attaquer. Soudain un Bullet Bill fonça à grande vitesse vers eux. Ni une ni deux, Mario fit un saut et frappa le missile de son marteau, le renvoyant vers son expéditeur. On entendit une explosion. La tempête continua à augmenter, on ne voyait plus rien. Chacun savait que son adversaire se trouvait de l'autre côté, mais on ne le voyait pas. Alors sur le visage de Karl apparut un sourire.

« Mais oui! Ha nous sommes sauvés! Mario! Luigi! Rentrons! »
« Hein? Mais nous avons les Xham... »
« Ne vous inquiétez pas. Ils ne nous feront rien. »

Alors ils rentrèrent. Ils fermèrent la porte, K. Tastroff se rua sur son ordinateur, pianota dessus. Il poussa un soupir de soulagement.

« Que se passe-t-il professeur? » demanda Luigi.
« Le blizzard gèle leurs organismes, les empêchant de bouger. Ce n'est qu'une hypothèse certes, mais très crédible. Il n'y jamais eu un seul Xhampi dans les environs de la Montagne Glagla lors de leur première attaque. Et là le fait qu'ils semblent s'être calmés confirme mes dires. Ce blizzard nous sauve! »

Luigi hurla « Youpi! » avant de sautiller de partout. Mario restait sceptique, il pensait que les Xhampis ne se contenteraient pas d'attendre gentiment que le blizzard s'arrête...

...et il avait raison.
Quittons la Montagne Glagla et allons au château de la princesse Peach, enfin disons plutôt le château de Bowser, il avait pris possession des lieux, avait reconstruit le fort, l'avait relooké à sa manière, en avait fait une véritable forteresse. Il semblait pareil à une ombre vu de loin, même le jour, il alliait les styles Xhampis et Koopas. C'était sinistre, effrayant, apocalyptique.

Bowser était sur son trône, il avait gardé les mêmes couleurs que lorsqu'il avait été attaqué par les flaques violettes. Il avait un regard vide, sans âme, il mangeait un bout de viande. Alors quelqu'un entra, c'était un Kamek.

« Seigneur Bowser, nous vous apportons des nouvelles du régiment basé dans la Montagne Glagla... »
« Ha enfin! Mario et Luigi sont-ils enfins éliminés... »
« Pas vraiment non. Le blizzard a arrêté nos troupes, ils ne peuvent plus bouger. »
« Quoi?! Rah, c'est pas vrai! Ils vont encore nous filer entre les doigts, ces sales plombiers! »
« Que faisons-nous? »
« ...Je vais leur envoyer l'un de mes meilleurs éléments. »

Il se leva, un sourire sadique se dessina sur ses lèvres, il se mit à hurler.

« GRACOWITZ!!!! »

Immédiatament, il apparut. Oui, c'était Gracowitz, il avait le même air sur son visage. Il avait le même uniforme que lorsqu'il avait combattu Mario et Luigi pour la dernière fois, sauf qu'au lieu d'être blanc, il était pourpre avec des légères nuances de noir. Il ria grassement.

« Vous m'avez demandé, Maître Bowser? »
« Oui! J'ai une mission pour toi : tu vas prendre un vaisseau de combat Xhampi de première classe et aller dans la Montagne Glagla, là où se trouve le régiment armé. Le radar t'indiquera leur position. Alors tu trouveras Mario et Luigi, tue-les! »

Le rire de Gracowitz devint plus aigu, un rire jaune, un rire haineux. Toute sa haine envers les deux frères n'avait pas changé, même depuis qu'il avait été contaminé par les flaques violettes. Oui, il allait prendre sa vengeance enfin!

Immédiatement, il partit vers le hangar, prit un vaisseau et prit la direction de la Montagne Glagla.

Le blizzard ne s'était pas arrêté d'ailleurs là-bas, K. Tastroff bossait sur son ordinateur, Mario et Luigi attendaient. Ils ne savaient pas quoi faire, en tout cas. Qu'allait-il se passer quand la tempête s'arrêtera? Ils devraient faire face, et alors ils mourraient.

Du moins, ils pensaient ça avant d'entendre un rire sadique familier. Un rire qu'ils avaient déjà entendu.

« Non... » murmura Luigi.
« Lui... il ne manquait plus que ça. » conclut Mario.
« Gracowitz! » hurlèrent ensemble les deux frères.

Au même moment, une bombe traversa le toit et atterit en plein au milieu de la pièce, elle explosa. Elle était visiblement efficace, vu que le laboratoire était en ruine, K. Tastroff gisait inerte sur le sol, Mario et Luigi étaient tout deux sonnés. Gracowitz apparut, il avait pris le même chemin que la bombe, avec un réacteur situé sur son dos. Il regarda ses ennemis de toujours, ceux qu'il haïssait.

« Enfin! Je vais vous tuer! Vous me donnez mal à la tête! Tous! Je vous hais! Je vous hais! »

Il sortit un pistolet à rayons et tira sur Mario, qui évita de justesse. Luigi reprit ses esprits, sortit son marteau et tenta de frapper Gracowitz avec, il se recut un coup de poing en plein ventre. Mario voulut faire de même mais l'ex-associé de Cackletta désarma le héros du Mushroom Kingdom avec son pistolet. Il enchaîna avec un magnifique uppercut. Il riait, il faisait souffrir ses agresseurs, il comptait les faire souffrir pendant des heures, pour ensuite les faire mourir, il les haïssait tellement, c'était le seul moyen de soigner son âme, de la guérir de sa haine et d'éviter de sombrer dans la folie, peut-être était-il déjà fou, d'ailleurs.

Il pointa Luigi de son pistolet, il le chargeait d'énergie pour bien faire souffrir son ennemi.
Mario avait mal, pourtant il devait aider son frère.

Gracowitz tira, Mario bondit. Il y eut un grand flash, le tir avait eu sa cible. Mais quelle cible?

En principe, Gracowitz dit "J'ai la HAINE!" non?

Vu qu'il a été contaminé par les flaques violettes, je me suis permi un changement de vocabulaire.

Vous postez des comments quand vous voulez hein. D:

Excellente fiction, pour une fois que quelqu'un part sur un scénario, déjà sombre, et le fait que ce soit complètement à côté de ceux que l'on peut voir comme truc naze. Je n'ai rien à dire, à part des choses positives.

Ma foi à défaut d'avoir plus de comments... s'il vous plaît, postez-en bon sang. Au moins j'aurais l'impression qu'on s'intéresse à ma fic qui se tape un BIDE MONUMENTAL.



Le tir de Gracowitz n'atteignit pas Luigi, il n'atteignit pas Mario, ni K. Tastroff, ni lui-même, mais le marteau du plombier rouge. En effet, la solidité de l'arme de Mario fit rebondir le tir, et quelle fut au final la cible? L'ordinateur. Oui, celui du scientifique. Il y eut une nouvelle explosion, faisant voler au passage Tastroff. Il y avait le feu cette fois-ci, un début d'incendie. Le combat devait se finir, et vite, avant que tous ne soient brûlés!

« Ha ha ha ha! Oui, l'heure de prendre ma revanche a sonné! » dit Gracowitz en ricanant.

Celui-ci se jeta sur Mario, et tenta de lui donner un coup de poing. Le plombier évita, et la main de l'ex-associé de Cackletta traversa le mur, causant un trou. Il hurla de douleur, et Mario en profita pour lui donna un splendide coup de marteau sur la tête, paf. L'ennemi fut étourdi, et tira un peu partout avec son pistolet, causant quelques explosions. L'incendie continuait à se propager.

« Luigi! Emmene Tastroff à l'abri! » hurla Mario avant de se faufiler dans le trou crée par le poing de Gracowitz.

Celui-ci le suivit après avoir retrouvé ses esprits. La salle était sombre et très grande, Mario se faufila dans l'obscurité pour laisser le temps à son frère de se protéger, et de protéger Karl par la même occasion. Gracowitz tirait partout dans la pièce, riant comme un malade mental. Ses tirs l'éclairaient un peu d'ailleurs, faisant apparaître des blocs « ? ». Mario eut un sourire et sauta pour en activer un : une pièce. Il continua à esquiver les tirs, activa un bloc : un champignon. Ainsi de suite, ça variait entre la pièce et le champignon, avec quelque fois un costume de tanuki. Non ce n'était pas ce que Mario cherchait, loin de là.

Gracowitz charga encore son rayon, au maximum pour que Mario ne l'évite pas cette fois-ci. Celui-ci activa un autre bloc, priant le ciel que ce soit l'objet qui recherchait. Il poussa un cri de joie, puis Gracowitz tira.

Il toucha parfaitement sa cible, à savoir Mario. Reste à savoir si le tir avait eu de l'efficacité. Il n'en avait pas eu.

Mario s'avança tranquillement vers Gracowitz. Son corps étincelait, des étoiles gravitaient autour de son corps. Gracowitz hurla, un hurlement de terreur, oui en effet Mario était devenu invincible, il avait prit une étoile.

Un coup de poing, un coup de marteau et pour finir un saut assomèrent le fameux soldat d'élite de l'armée Xham... enfin Koopa... Mario sortit de la pièce, Luigi était caché avec K. Tastroff dans le placard, il hurlait car il ne pouvait pas sortir : le feu! Le feu était partout, il fallait partir et vite. Profitant des effets de l'étoile, Mario brava le feu, détruit le placard et sortit Luigi et le professeur. Ils devaient maintenant sortir et vite. La seule issue acceptable pour le moment était le toit. Alors il retourna dans la pièce où il avait vaincu Gracowitz, prit deux costumes de tanuki. Il en jeta un à Luigi, qui le mit immédiatement. Il mit également le sien, puis porta Gracowitz sur son dos, difficilement.

« On ne peut pas laisser Gracowitz mourir ici. Partons. » dit-il en retournant voir son frère, qui tenait Tastroff, tandis que le feu se propageait.

Luigi approuva et tout deux prirent de l'élan avant de décoller, il était temps car le feu avait complètement envahi le rez de chaussé. Ils passèrent par le trou qu'avait formé Gracowitz et sa bombe, et arrivèrent finalement au toit. C'est alors qu'ils remarquèrent le vaisseau qu'avait utilisé l'ex-associé de Cackletta pour venir ici. C'était un vaisseau plutôt grand, possédant deux ailes, il pouvait contenir plusieurs personnes, il avait quatres canons avant et une trappe permettant de lancer des bombes, parfait pour le combat et le parachutage de soldats Xhampis en faible nombre.

Tandis que le feu rongeait les fondations du laboratoire de Karl, Mario et Luigi se mirent d'accord pour utiliser ce vaisseau pour fuir. Ils s'installèrent, mirent Gracowitz (en prenant soin de l'attacher) et Tastroff à l'arrière. Puis, après quelques manoeuvres, le vaisseau partit à vitesse grand V vers l'horizon. Enfin, ils étaient sauvés! Ils voyaient des formes obscures en dessous d'eux, sans doute l'armée Xhampi... qu'importe, ils avaient réussis, maintenant ils allaient se mettre à l'abri et réfléchir comment vaincre le peuple extraterrestre.

Mais la partie n'était pas gagné.
Oui... dans le château de Bowser, celui-ci attendait, il semblait stressé, et crachait une étrange flamme violette de temps à autre. Soudain, un kamek (le même que precédemment) arriva et se mit au garde à vous.

« Chef! Le vaisseau de Gracowitz est parti comme prévu. Visiblement, il a dû réussir. »
« Ha! Parfait, maintenant nous allons... »
« Mais à l'intérieur de ce vaisseau, nos hommes détectent plusieurs formes de vies organiques au lieu d'une... »
« QUOI?! Cet idiot a échoué et ces satanés plombiers s'enfuient avec son vaisseau, ils nous échapppent! »
« Non, Bowser que crois-tu... ils n'ont pas encore gagné. » dit une vieille voix dans l'ombre.

Le Roi Koopa se retourna : derrière lui se trouvait le mystérieux homme en blouse blanche, il avait un sourire narquois, et tenait une télécommande dans sa main.

« Voyons Bowser... pourquoi crois-tu que nous l'avons construit? Cette unité de combat flottante... envoie-le sur eux. Ils n'y échapperont pas. »
« Bonne idée. Kamek, envoie-leur Zakat! VITE! »
« A vos ordres! » répondit le sous-fifre avant de partir.

Dans les cieux, le vaisseau de Gracowitz, conduit par Mario, continuait sa route... le soldat d'élite était toujours évanoui, même chose pour Tastroff. Luigi était sur le point de dormir, mais Mario était stressé à mort, il avait peur, peur de quelque chose, il sentait une présence qui les suivait, quelque chose qui le conduirait à la mort. Il avait un instinct formidable, ce plombier.

« Hmm? Le radar m'indique quelque chose... c'est... c'est énorme! Ca s'approche à grande vitesse! »

Une immense sphère apparut à l'horizon, elle semblait constitué de plaques métalliques, chacune fourni de plusieurs canons. Elle devait avoir la taille d'un géant, à tel point qu'elle masquait le soleil, et que son ombre s'étendait sur plusieurs kilomètres. Elle était accompagné de plusieurs dizaines de vaisseaux de combats Xhampis, selon le radar. Mario poussa un cri d'horreur, Luigi s'évanouit quand il vit cette chose... cette sphère...

« Vaisseau de combat ultime Zakat en approche. » dit le radar.

Et quand ce même radar indiqua qu'il chargeait ses canons, Mario espéra un miracle.

J'aime bien. C'est vraiment sympa à lire, on retrouve vraiment le caractère des personnages.

Sache que je n'aime pas trop ta façon d'écrire mais J'adooooore ton scénario et histoire...continu ! J'ai aussi connu le manque de commentaire alors que ma fic était apprécié, tu pousse un coup de gueule et ça va tout de suite mieux , je n'ai vraiment rien a reprocher, tu as un scénario et c'est déjà un bon début, organiser ses idées au lieux de s'embrouiller !

bien le suspence (<-- ça s'écrit comme ça??)


continue

On en arrive à la moitié de la fic.



La sphère titanesque lança une multitude de rayons sur le vaisseau que conduisait Mario. Celui-ci fit un déplacement sur le côté, évitant le tout premier rayon, puis fit quelques déplacements divers, du tonneau au piqué, en passant par le looping pour éviter les autres tirs. Une des ailes fut touchée, ainsi que l'un des canons, j'oublie sans doute l'un des moteurs. Mario se doutait qu'il ne pourrait pas éviter eternellement les rayons.

« HA HA HA HA! Nous sommes foutus! Foutus! »

Gracowitz... il se débattait, débattait avec force, tentant d'enlever ses liens, de se libérer. Il riait, comme à son habitude... Luigi prit son marteau et se prépara à l'assomer, quand soudain il hurla ceci :

« Ha ha ha ha! Pauvre fous! Zakat! C'est Zakat! »
« Zakat? » demanda Luigi, posant son marteau.
« C'est l'arme ultime! C'est la plus puissante machine de l'armée Koopa... enfin de l'armée Xhampi... grâce à leur technologie, ils ont crée cette sphère de combat, invincible, surpuissant... Nous sommes foutus! Foutus! »
« Invincible dites-vous? » murmura une voix connue à l'arrière.

K. Tastroff. Il était réveillé, il était boîté, du sang coulait sur son visage et il avait une lunette cassée. Il perdit son équilibre un moment, reprit son souffle et parla.

« Rien n'est invincible.... non rien. Il doit y avoir un moyen... j'en suis sûr. »
« Vaisseau de combat ultime Zakat en approche. Le vaisseau est en train de charger une nouvelle attaque. » interompit le radar de la machine.
« Mario, passe-moi les commandes. » reprit Tastroff.
« Mais vous êtes blé... »
« Je sais ce que je fais. »

Mario laissa donc les commandes au professeur, qui étudia un bref moment la machine. Au même moment, Zakat tira une deuxième salves de rayons. Alors, tandis que le vaisseau évita quelques tirs, Tastroff riposta en envoyant un sublime missile en plein dans la sphère, ce missile toucha parfaitement sa cible, à savoir la sphère géante. Peine perdue, elle restait parfaitement immobile et intacte. Tastroff évita d'autres tirs, un autre missile, rien à faire. Zakat approchait, tirant une troisième salve. Les vaisseaux de combat qui l'accompagnaient se mirent à foncer sur celui des deux frères. Le professeur fit un nouveau tonneau, détruisant l'un des vaisseaux, tira un missile qui slaloma entre les divers rayons et toucha Zakat, peine perdue il était toujours intact.

Tastroff réfléchissait. Il évitait sans cesse les tirs ennemis, quelque fois avec difficulté. Il tirait quelques missiles sur la sphère, qui decidemment était d'une solidité à toute épreuve.

« Hmmm... je dois avouer que cette sphère est assez résistante... »
« Vous voyez? C'est impossible! » hurla Gracowitz.

Tastroff n'écouta pas et continua ses manoeuvres. Il eut beau envoyer plusieurs missiles sur Zakat, celui-ci restait intact, et continuait à avancer, inexorablement...

Soudain.
Soudain plusieurs Bullet Bills touchèrent la partie inférieure de Zakat, mais ces Bullet Bills ne provenaient pas du vaisseau de Mario et Luigi. Non, ils venaient de canons situés au sol. Ces canons tiraient à un rythme très rapide. Ils n'étaient pas des ennemis, mais des alliés.

Les Bullet Bills harcelaient Zakat, l'usaient même. En réponse, la sphère utilisa une technique assez particulière : la moitié des plaques métalliques qui le protégaient se changèrent en vaisseau de combat pour détruire les canons qui lancaient les missiles, tandis que l'autre moitié forma un bouclier géant en forme de demi-sphère, protégeant la partie inférieure de Zakat. Grossière erreur, oui, grossière erreur. La partie supérieure laissait totalement à découvert une sorte de cylindre qui devait servir de poste de contrôle de la sphère. Tastroff profita de l'occasion et envoya un ultime missile dans le cylindre :

Celui-ci explosa. Détruisant les vaisseaux crées, soit la quasi-totalité de toute l'armada. Le bouclier partit en morceaux, puis au final une explosion dévastatrice acheva Zakat, il était fini cet ultime projet de guerre. Ce qu'on ne peut détruire à l'extérieur, on le détruit à l'intérieur.
Tastroff, alors, manoeuvra le vaisseau et se posa près de l'emplacement des canons, Luigi porta Gracowitz sur son épaule et sortit, suivi de Karl et d'enfin Mario. Il y avait des Toads qui poussaient des « Hourra! » devant eux, avec même des Koopas et des Goombas.

Puis, un autre Toad sortit de la masse, il était plus grand que la normale, massif, plusieurs cicatrices ornaient ses joues, il avait un regard sombre, dur, sévère. Il avait une sorte de veste militaire écarlate, muni de boutons dorés. Il s'avanca vers les héros (sans compter l'énergumène qui tentait de se libérer de ses liens), et tendit la main de manière rigide.

« Vous devez être Mario et Luigi, je présume? Je suis le Général Sanitel, chef de l'Organisme de Resistance du Mushroom Kingdom. J'ai également une connaissance qui a très envie de vous revoir. »

Derrière la foule, une voix on ne peut plus familière hurla ceci.

« Mario! »

Peach, elle était là, dans son costume habituel, elle traversait la foule, courant vers Mario. Celui-ci coura vers la Princesse, et tout deux se serrèrent dans leurs bras. Tandis que tout le monde faisait ses retrouvailles, Sanitel s'approcha de Tastroff.

« Professeur Tastroff, veuillez me suivre. »
« Qu'il y a-t-il? »
« Nous avons besoin de vous. »

Alors le général se dirigea vers un tunnel qui traversait la roche, un tunnel sombre. Le professeur resta figé un moment, ébahi par une telle froideur qui venait de Sanitel. Celui-ci regarda une dernière fois K. Tastroff, d'un air qui voulait tout dire et remplacait la parole. Le professeur comprit que ce n'était pas une demande, mais un ordre.

Bravo. C'est super.

J'ai refais Mario et Luigi les frères du temps et J'ai remarqué certains détails qui pourraient t'intéresser pour une autre future fic.

Dis toujours, ça pourrait m'intéresser.
(P.S. : au cas où certains ne le remarqueraient pas, Sanitel est un anagramme de Staline, donc ça vous éclaircira sur la personalité du gugus)

Pour ceux qui savent pas que j'ai rajouté un chapitre, j'up.
Need commentz, bordel.

Da ultimate up après j'abandonne l'idée d'arracher des coms.
Faudrait vraiment me dire ce qui va pas pour que vous me désertiez de cette manière, ça traîne? Y'a quoi?

mon internet bug . Ca te suffit?
sinon c'est domage que ce chapitre est un peu court.

CONTINUE

J' adore, tout comme les autres chaps. J' attend la suite.

Cela devait faire maintenant une semaine que Mario & Luigi devaient avoir été recueuilli par l'O.R.M.K.. Ils avaient eu une chambre commune, un lit, des repas. Ils se reposaient à merveille. Peach allait bien, elle avait, suite à sa fuite du vaisseau de Papy Champi, rejoint le mouvement révolutionnaire de Sanitel et encourageait les troupes. Ils se passaient pendant ce temps des choses affreuses : dans la capitale, les Toad étaient sous une dictature affreuse, poussés à bouts, il y avait des éxécutions tout les jours, des procès de personnes innocentes (jugés coupables quand même), les deux frères et la princesse classés comme ennemi public, la suppression de tout document pouvant discréditer Bowser... tout était sous contrôle du Roi Koopa... enfin des Xhampis. Ils dirigeaient tout, contrôlaient le Roi, et exercaient dans l'ombre.

Sanitel disait que la bataille finale était proche, qu'il fallait se préparer, que bientôt l'ultime offensive allait se réaliser et libérer la ville. Peach avait confiance en lui, Luigi en avait peur, Mario était sceptique.
K. Tastroff était introuvable, on racontait qu'il était dans les sous-sols en train de travailler sur un projet qui allait être décisif. Gracowitz avait aussi disparu, on disait qu'il était prisonnier on ne sait où.

Un jour, Sanitel fit un grand discours, Mario et Luigi étaient présents. Il parla d'une facon ferme, cruelle, il disait que tout le monde devait se mobiliser, que c'était maintenant la fin, que l'attaque finale n'était plus qu'une question de jours. Il dit aussi qu'au final, ils gagneraient et restaureraient la paix, et élimineraient une bonne fois pour tout les Xhampis. Vers la fin de son discours, il fut interrompu par un message envoyé par un Toad. Quand il le lut, il sourit.

« Repos pour tout le monde. J'ai terminé. Sauf vous, les deux frangins, je dois vous voir. »

Tout le monde sauf les intéréssés partirent, lâchant quelques paroles enthousiastes. Les deux frères rejoignirent Sanitel, qui ordonna qu'on le suive. Ils prirent un chemin obscur, qui traversait les sous-sols, il y avait une bizarre odeur, désagréable à sentir. On entendait quelques rires tristes, ainsi que des soupirs de joies. Luigi prit peur. Mario était curieux. Sanitel jubilait.

Alors ils arrivèrent.
C'était un grand laboratoire, d'un blanç immaculé, on voyait quelques bureaux, des feuilles envahissaient le sol, au centre on voyait une table rectangulaire, avec quelque chose attaché dessus... ou quelqu'un.

« Gracowitz? » murmura Luigi.

Et c'était lui.
Il avait son corps ensanglanté, ses yeux étaient blancs, son teint était pâle, il riait, son rire était émouvant, car triste, un rire douloureux... devant lui se trouvait Tastroff, les cheveux en pagaille, la blouse ensanglanté (du sang de Gracowitz, sans doute), il pleurait, il avait un regard, un regard rempli de honte.

« Mais... que s'est-il passé? » dit Mario, éberlué.
« VOUS! Sanitel! Je vous hais! » hurla soudain Tastroff.

L'intéressé resta immobile, il souriait.

« Vous m'avez obligé à faire les pires atrocités sur son corps, lui ouvrir le ventre, fouiller dedans à vif, le couper, un vrai cobaye...... des expériences horribles... non je pouvais pas supporter ça... j'ai pas le droit... même à mon pire ennemi. »
« Ces expériences horribles comme vous dites sont necessaires à l'O.R.M.K. »
« Ne me faites pas rire... je connais maintenant votre vraie personnalité, Sanitel et je vais... »

Il ne put finir sa phrase. En effet il se recut une décharge électrique dans le ventre, Sanitel avait une sorte de matraque électrique.

« Pour le moment, c'est 100 volts, je peux augmenter si vous voulez. »
« Je... »

Mario intervenit et voulut donner un splendide coup de poing dans le visage du Toad, mais il se reçut lui aussi une décharge électrique. Le plombier rouge était à moitié inconscient, Tastroff pleurait de plus belle.

« Allons, présentez votre fameux antidote... »
« Oui... »

Alors au fond de la pièce apparut une sorte d'écran qui diffusait un film. Il montrait cette fameuse flaque violette tant redoutée. A côté d'elle il y avait une seringue contenant un liquide jaunâtre. Karl s'avança vers l'écran et se mit à parler.

« Ce... cette flaque violette contient l'ultime arme des Xhampis... bien plus forte que Zakat ou autres, c'est un virus, un virus capable de survivre n'importe où, de s'infiltrer dans n'importe quel organisme sans être dérangé et a un effet quasi immédiat. »
« Origine? » demanda Sanitel en brandissant sa matraque.
« J... je ne sais pas. Les Xhampis que j'ai étudiés auparavants ne possédaient pas ce virus. »
« Vous voulez dire que ce sont les Xhampis qui créent ces flaques donc le virus? »
« Oui... les Xhampis méduses pour être précis... Gracowitz a été contaminé et donc est devenu un simple pantin à leur service, il perd toute volonté et son cerveau est sous la domination du virus... peu à peu le sujet perd toute conscience. »
« Et donc vous avez trouvé un antidote j'imagine? »
« Oui oui! Un antidote aussi efficace que le virus, en plus d'être puissant. J'ai posé quelques seringues dans un entrepot où elles n'attendent que d'être utilisées. »
« Bien. »

Sanitel rangea sa matraque, regarda d'un air dédaigneux Mario et Luigi, Tastroff et Gracowitz avant de se diriger vers la sortie. Avant de partir, il posa une ultime question.

« Et selon vous comment les Xhampis ont-ils pu créer ce virus? Comment ont-ils pu survivre et être aussi nombreux? »
« Je ne sais pas... » répondit Karl.
« Tsss... sous-homme. Vous me decevez. »

Sur ces mots, il partit. Un rire sadique se fit entendre dans la pièce. Luigi était paralysé de peur, Mario par la colère, Tastroff par la honte, Gracowitz par ses liens. Le professeur libéra alors l'ex-associé de Cackletta, considérant son travail comme fini. Mario se releva, toujours pas remis de son choc électrique. Luigi, quant à lui, restait immobile.

« Je vais l'apporter à l'infirmerie... et vous ça va aller? » demanda Tastroff.
« Oui... j'espère... » murmura Mario.

A ce moment une alarma sonna à travers toute la pièce et sans doute toute la base, on entendait « Alerte maximale! Alerte maximale! », la voix de Sanitel hurlait ceci :

« Branle-bas de combat! Nous partons maintenant libérer la capitale! Ce n'est pas un exercice! »

le prochain chap' c'est un gros combat? (question idiote)


COoOoOoONTINUE =)